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A Tekinawane, les femmes et les enfants devaient marcher 10 km pour trouver de l’eau, souvent insalubre.

Un puits avait été creusé jusqu’à une profondeur de 70 m, sans trouver d’eau. Il fallait soit continuer à creuser soit faire un forage.

Nous avons financé une étude préalable (Rapport Sandao) qui conclut à la nécessité de faire un forage à 500 m de profondeur avec contre-puits. Le budget d’un tel ouvrage est très important et nous conduit à envisager d'autres solutions.

A Adjangafa, le puits s’était effondré et, le point d’eau le plus proche était à 12 km, à Tchintabaraden.

Nous avons entrepris un plan d’ensemble pour toute la zone (60 km sur 40 km) afin de créer un réseau de puits tant pour la population que pour le cheptel. Ces puits sont situés à intervalle de 15 à 20 km l’un de l’autre.

Vous trouverez un récapitulatif de la situation des puits dans le numéro 31 de l’Hebdromadaire (l’Hebdromadaire N°31)

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