Le but de l’association est de venir en aide aux communautés de villages de Tekinawane, Intifirkit,Adjangafa et autres situés dans la zone sahélienne du Niger, au sud-ouest de Tchin-Tabaradène (Province de Tahoua).

La population s’élève à environ 5.000 et 6.000 habitants, principalement Peuls Wodaabé.

Cette  population vit d’élevage de bovins qui l’amène à mener une vie encore largement nomade.

La diminution des pluies saisonnières, l’avancée du désert qui en résulte ainsi que la pression démographique des populations sédentaires du sud rendent la survie des nomades de plus en plus précaire : les puits s’assèchent, les troupeaux de bovins s’adaptent difficilement aux changements climatiques, l’école se donnait dans une hutte de branchages, le dispensaire se trouve à 40 km…

Ces conditions amènent les nomades à se sédentariser partiellement autour d’infrastructures de base telles que les points d’eau et les écoles.

L’aide qu’apporte Azawagh se concentre sur ces besoins de base, tels que formulés par eux : approvisionnement en eau (puits, forage), construction d’écoles, élevage de chameaux, ainsi que de l’aide d’urgence en cas de menace de famine.

• Le projet AZAWAGH nous fait toucher de près un certain nombre des grands problèmes de notre temps : réchauffement climatique, sous-développement, écarts culturels entre les peuples, émigration des africains vers l’Europe.
• Ceux qui désirent approfondir ces sujets, trouveront une bibliographie en annexe.
• Pour tenir au courant du projet ceux qui nous aident de leurs dons et de leurs conseils, nous publions périodiquement un bulletin diffusé par internet, dénommé l’Hebdromadaire.
• Si vous voulez prendre un bain de foule au pays des Wodaabe, rendez-vous à la galerie photos.